Photos du Procris, Coenonympha pamphilus




Photo d'un Fadet commun ou Procris ''Coenonympha pamphilus'', sur les fleurs ligulées blanches d'une Vergerette annuelle 'Erigeron annuus, dans une prairie humide qui borde le Rhin, à la Wantzenau au mois de septembre. Description du Procris.


Le Fadet commun ou Procris "Coenonympha pamphilus" est un papillon diurne de la famille des Nymphalidés "Nymphalidae". Le dessus des ailes de ce lépidoptère est brunâtre à orange bordé de brun et de franges blanchâtre, les antérieures sont ornées d'un ocelle noir cerclé de jaune, avec un point blanc au centre. Le dessous des antérieures est également brun-orange, avec l'ocelle bien visible, le dessous des postérieures est brun marbré à grisâtre. Son envergure varie de 28 à 30 mm. La chenille mesure de 18 à 20 mm, elle est de couleur verte, avec une tête brunâtre. Le Procris se rencontre de mai à septembre dans les garrigues, les jardins, les prairies, les lisières de forêts ou les clairières.


Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' sur une fleur de Vergerette annuelle ''Erigeron annuus'', dans une prairie ello-rhénane, entre le Steingiessen et le Rhin, à la Wantzenau au mois de septembre. Description de la Vergerette annuelle.


La Vergerette annuelle "Erigeron annuus" est une plante herbacée bisannuelle à vivace de la famille des Astéracées "Asteraceae". La petite tête florale est munie de fleurs ligulées de couleur blanche, elles sont situées autour d'un disque composé de fleurons jaunes en forme de tube. Les feuilles vertes basales sont grossièrement dentées, les supérieures lancéolées. La tige verte et velue est dressée. Sa taille varie de 30 à 120 cm. La Vergerette annuelle fleurit de mai à octobre dans les prairies, les jachères, les clairières ou au bord des chemins.


Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' dans une prairie qui borde le Rhin, à la Wantzenau; une photographie réalisée au 180 mm macro, à une ouverture de f/2,8 et une vitesse de 1/1600e de seconde. Yves Noto Campanella photographe.


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Photo d'un Fadet commun ou Procris ''Coenonympha pamphilus'' posé les ailes repliées, dans les hautes herbes d'une prairie humide, le long du Rhin, à la Wantzenau au mois de juin. Description de la forêt de la Wantzenau.


La forêt de La Wantzenau se situe au Nord de Strasbourg, entre la Robertsau et Gambsheim, elle est traversée au centre par la rivière de l'Ill et ses méandres, comme le "Steingiessen" et le "Waldrhein", ce qui en fait une forêt ello-rhénane. La forêt de La Wantzenau a la particularité de posséder une végétation façonnée par le Rhin et par l'Ill. Les alluvions du Rhin ont donné un sol à substrat grossier et calcaire. La rivière de l'Ill, issue des montagnes du Juras alsacien, donnant un sol à substrat fin et non-calcaire. Un ensemble qui a permis à une végétation très riche et diversifiée de s'y développer. La forêt de la Wantzenau comprend au Sud de très belles prairies du Ried Blond délimitées par le "Steingiessen", elles abritent une flore et une faune remarquables. À partir du lieu-dit "Siefferts Koepfel" et jusqu'au "Breuschkopfgrund", avec la forêt domaniale de Honau, s'étend une forêt dense, entrecoupée de méandres, une jungle rhénane des plus remarquables. Tout ce versant droit de l'Ill comprend des forêts alluviales qui se sont développées sur des levées "Köpfe" ainsi que dans les parties basses "Gründe", le long des anciens méandres du Rhin et de l'Ill. La rive gauche de l'Ill abrite une végétation plus ou moins rapportée, aux lieux-dits "Kaelberkopf" et "Waldkoepfel", le point le plus remarquable est son méandre, le Waldrhein qui ceinture avec l'Ill l'ensemble du massif. Le long de ce bras de l'Ill s'est formé une magnifique roselière bordée d'une vaste saulaie. C'est en 1994 qu'a été créée la première réserve biologique, elle a été agrandie en 2004, puis en 2018. La Réserve biologique de la Confluence Ill-Rhin couvre une surface de 103 ha: 43 ha de réserve biologique intégrale (RBI) et 60 ha de réserve biologique dirigée (RBD). De plus, le 27 juillet 2020 a été créée la Réserve naturelle nationale du massif forestier de la Robertsau et de La Wantzenau. D'une surface de 710 ha, elle regroupe la totalité de la forêt de la Robertsau, et les lieux-dits "Rosskoepfel" et "Honauerkoepfel, au Sud-Est de La Wantzenau.


Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' sur les fleurs de Pèbre d'aï ou Pèbre d'ase en provençal ou encore Sarriette des montagnes, en latin ''Satureja montana'', dans la garrigue qui borde le lac de Sainte-Croix.



Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' posé sur des fleurs de Poivre d'âne ou Sarriette des montagnes ''Satureja montana'', dans la garrigue, aux Salles-sur-Verdon au mois de juillet. Description de la Sarriette.


La Sarriette ou Sarriette vivace et Sarriette des montagnes "Satureja montana" est un sous-arbrisseau aromatique de la famille des Labiacées "Labiaceae", anciennement Labiées "Labiatae". Elle est également appelée Poivrette, Herbe de Saint Julien ou encore Pèbre d'aï et Pèbre d'ase en Provence, ce qui se traduit par "poivre d'âne". L'inflorescence est regroupée en grappe terminale. Les fleurs bilabiées de couleur rose pâle à blanchâtre ont la lèvre inférieure trilobée, les étamines à anthères brunâtres et la lèvre supérieur en forme de casque. Les petites feuilles aromatiques vertes sont linéaires et étroites. La tige ligneuse est dressée. Les fruits sont constitués de 4 petits akènes. Sa taille varie de 10 à 50 cm. La Sarriette fleurit de juillet à septembre sur les terrains calcaires du pourtour méditerranéen, dans les maquis, les garrigues, les collines escarpées et rocailleuses ou au bord des chemins pierreux. C'est une des herbes aromatiques préférées des provençaux, les feuilles sont utilisées comme condiment depuis l'Antiquité, pour relever les grillades, les ragoûts, les farces, les sauces et les légumes. L'huile essentielle de sarriette est anti-infectieuse. C'est également une plante médicinale connue pour ses propriétés digestives et antiseptique.


Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' dans la garrigue en été, avec les ailes repliées, la postérieure brune marbrée et l'antérieure orange ornée d'un point blanc au centre de l'ocelle noir cerclé de jaune. Description des papillons.


Les papillons sont des insectes, et comme tous les insectes leurs corps sont composés de trois parties: tête, thorax et abdomen, ils ont six pattes, deux antennes et quatre ailes (sauf exception). Les papillons font partie de la famille des Lépidoptères, ils se caractérisent par la présence de 2 paires d'ailes membraneuses couvertes d'écailles, c'est les écailles qui leur donnent leurs belles couleurs. Comme tous les insectes, les papillons sont pourvus de trois paires de pattes. Le développement du papillon se décompose en trois phases: d'abord les femelles pondent jusqu'à plusieurs centaines d'oeufs au printemps ou en été, de ces oeufs vont naître les larves appelées chenilles, qui pour finir vont devenirs des papillons (ou imago). La durée de vie des papillons est très variable, elle est de quelques jours, de quelques semaines ou suivant l'espèce, de plusieurs mois.


Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' avec les ailes repliées, dans la Sarriette ''Satureja montana'', sur un plateau de garrigue qui surplombe le lac de Sainte-Croix, aux Salles-sur-Verdon. Description de la garrigue.


La garrigue, mot d'origine provençale désignant un terrain pierreux et aride constitué d'une formation végétale basse. Caractéristique des régions méditerranéennes, la garrigue se développe sur un sol calcaire, sec et filtrant. Un milieu qui se compose essentiellement d'arbrisseaux résistant à la sécheresse, comme les genévriers, le chêne kermès et des ligneux de petite taille comme le ciste, la lavande, le thym, le romarin, la bruyère... La flore diversifiée constitue une des richesses de la garrigue, elle abrite également une grande variété de mammifères, d'oiseaux, de reptiles et d'insectes. La garrigue occupe une surface de 400 000 ha en Provence et Languedoc, elle est la résultante de la dégradation de la forêt méditerranéenne composée à l'origine de chênes verts et de chênes-lièges, cette forêt primaire a été plus ou moins fortement détruite par les défrichements excessifs, les pâturages intensifs ou les incendies successifs.


Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' sur une fleur fermé d'Oeillet des chartreux ''Dianthus carthusianorum'', dans une prairie qui borde le Rhin, à la Wantzenau à la fin du printemps. Description de l'Oeillet des chartreux.


L'Oeillet des Chartreux "Dianthus carthusianorum" est une plante herbacée vivace de la famille des Caryophyllacées "Caryophyllaceae". Les fleurs sont regroupées en petit bouquet au sommet de la tige; serrés les uns contre les autres, les pétales sont de couleur rose vif à pourpre avec un bord denté. Les sépales brunâtres sont soudés en tubes. Les feuilles vertes sont opposées, longues et très effilées. La tige dressée est de couleur verte. La taille varie de 20 à 60 cm. L'Oeillet des Chartreux aime les sols secs, il fleurit de mai à septembre, dans les prairies, les lisières de bois ou les clairières.


Photo d'un Procris ou Fadet commun ''Coenonympha pamphilus'' sur une tige, dans une prairie humide du Ried ello-rhénan, entre le Steingiessen et le Rhin, à la Wantzenau au mois d'août. Description des Rieds.


Le mot Ried vient du vieil alémanique "Rieth", qui signifie roseau et, par extension, une "zone inondable". Le Ried est un paysage formé d'un ensemble de prairies humides alimentées et traversées par des cours d'eau bordés de roseaux, de haies, de lignes d'arbres ou de petits massifs boisés. Ces milieux naturels sont cantonnés pour l'essentiel dans le département du Bas-Rhin en Alsace. Ils ont chacun leurs spécificités en fonction du microclimat, de la topographie et du substrat qui s'est formé sur des alluvions déposées par le fleuve et les rivières. Les rieds sont également formés par les résurgences et nappes phréatiques affleurantes. Des berges du Rhin et du Bruch de l'Andlau, au Grand Ried Centre Alsace de l'Ill, ou des Rieds de la Bruche, la Zorn, la Lauter, la Zembs, la Moder... ils ont tous leurs particularités. La flore et la faune des prairies riediennes sont d'une grande richesse, des parterres de fleurs colorent ces vastes surfaces herbeuses dès le début du printemps: Cardamines des prés, Renoncules âcres, Marguerittes, Linaigrettes ou Vergerettes annuelles mais également des espèces plus rares comme les Orchidées, l'Iris de Sibérie ou le Glaîeul palustre. De nombreux oiseaux spécifiques à ces milieux ouverts y sont présents comme le Courlis cendré, le Hibou des marais, la Cigogne blanche, le Busard des roseaux et le Râle des genêts. On y dénombre à Sélestat, la plus grande densité de Daims en France, mais le Chevreuil et le Sanglier sont également bien représentés dans les Rieds quand la chasse y est bien gérée et les prédateurs naturels respectés, comme le Renard, la Martre ou "autres Fouines". Les Rieds sont d'une importance capitale, outre leurs richesses écologiques, ils permettent l'absorption des fortes crues et inondations annuelles ainsi que la recharge de la nappe phréatique.


Photo d'un Procris ou Fadet commun ''Coenonympha pamphilus'' sur une fleur de Silène enflé ''Silene vulgaris'', dans une friche qui borde le Rhin, à la Robertsau au mois de juillet. Description du Silène enflé.


Le Silène enflé ou Silène commun "Silene vulgaris" est une plante herbacée vivace de la famille des Caryophyllacées "Caryophyllaceae". Les fleurs parfumées blanches ont 5 pétales bilobés, les étamines dépassent largement de la corolle. Le calice verdâtre à gris-beige est enflé et nervuré. Le fruit est une capsule jaunâtre. Les feuilles ondulées, ovales et pointues, sont opposées, glabres et de couleur verte, avec une nervure centrale très prononcée. La tige est dressée. La taille varie de 30 à 90 cm. Le Silène enflé aime les sols calcaires, elle fleurit de mai à août, dans les prairies, les friches, ou au bord des routes et des chemins.


Photo d'un Procris ou Fadet commun ''Coenonympha pamphilus'' posé sur un brin de lavande, au plateau de Valensole, dans le Parc Naturel Régional du Verdon au mois de juillet. Description du Parc Naturel Régional du Verdon.


Créé le 3 mars 1997, le Parc Naturel Régional du Verdon se situe dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, sur les départements des Alpes-de-Haute-Provence et du Var. D'une surface d'environ 180 000 hectares, le Parc Naturel Régional du Verdon regroupe des paysages aussi variés que le plateau de Valensole, les Préalpes de Digne et de Castellane ou les hautes et basses gorges du Verdon, avec les lacs de Sainte-Croix et d'Esparron. Des paysages de garrigues, de montagnes, de lacs, de champs de lavande et de fenouil où se côtoient les chênes truffiers et les oliveraies, de vastes espaces parfumés de thym, de romarin et de sarriette. 46 communes sont regroupées au sein du parc pour environ 30 000 habitants, les plus importantes sont Riez, Valensole, Gréoux-les-Bains, Aups et Castellane, avec des villages remarquables comme Moustiers-Sainte-Marie ou Bargème classés dans les plus beaux villages de France. Le Parc Naturel Régional du Verdon offre un terroir particulier d'où résultent des spécialités comme la truffe, l'huile d'olive, le fromage de chèvre ou le miel. La Maison du Parc est située dans le village classé de Moustiers-Sainte-Marie. L'économie du Parc Naturel Régional du Verdon est tournée vers le tourisme vert, mais également l'agriculture, l'élevage et l'artisanat. Surnommé le château d'eau de la Provence, le Verdon et son parc accueillent chaque année environ 1,5 million de visiteurs.


Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' et d'une Abeille à miel ''Apis melifera'' qui butinent les fleurs de lavande, à Puimoisson, sur le plateau de Valensole au début de l'été. Description de la lavande.


La lavande est un arbrisseau de la famille des Labiées "Labiatae" ou Labiacées "Labiaceae" ou Lamiacées "Lamiaceae" du genre Lavandula. Les fleurs mauves ou violettes sont disposées en épis. La plupart des espèces, très odorantes, sont utilisées dans la parfumerie ou la médecine, d'où la grande demande de son extrait d'huile essentielle. La lavande est une plante mellifère nécessaire à la pollinisation, elle attire donc abeilles, papillons et autres pollinisateurs. Son nectar produit un miel très clair, crémeux, d'une grande douceur au goût fruité. La lavande pousse surtout sur les sols calcaires secs et ensoleillés, elle fut utilisée en Provence dès le Moyen Âge, pour la composition de parfums et de médicaments. On distingue quatre espèces principales de Lavande: la Lavande vraie "Lavandula angustifolia", la Lavande aspic "Lavandula latifolia", la Lavande à toupet "Lavandula stoechas" et le Lavandin super ou Lavandin burnatii "Lavandula hybrida grosso" qui résulte d'un croisement naturel de deux espèces de lavande, la Lavande vraie et la Lavande aspic. Implantée en France par les phocéens, sa culture s'est développée en Provence, favorisée par un climat idéal pour son développement. C'est dans les années 1920 qu'est apparu le Lavandin qui offre un rendement plus élevé et une production d'essence supérieure à la lavande traditionnelle.


Photo d'un Fadet commun ou Procris ''Coenonympha pamphilus'' sur les fleurs d'une Vergerette annuelle ''Erigeron annuus'', dans une clairière qui borde l'étang du Leutesheim, à la Robertsau au mois de mai. Description de la forêt de la Robertsau.


La forêt de la Robertsau est une forêt périurbaine située au Nord-Est de Strasbourg, elle est une des trois forêts rhénanes entourant la ville. D'une surface de 493 hectares, elle se compose de tous les éléments qui caractérisent les forêts du Rhin. Longtemps surexploitée et défigurée, elle bénéficie aujourd'hui d'une protection lui permettant de retrouver ses caractères rhénans. La forêt de la Robertsau est une mosaïque de forêts alluviales rhénanes, avec dans les parties basses "Gründe" des méandres "Giessen" qui serpentent entre les îles du "Blaueslandkoepfel" ou des bras morts du Rhin alimentés par la nappe phréatique "Brunnenwasser". Plus haut, une jungle épaisse s'est développée sur les levées "Köpfe", elle accueille son cortège de lianes arborescentes qui grimpent à la cime des plus grands chênes, frênes et autres érables. Un troisième milieu occupe le bord du Rhin ou le "Beilengrund", le "Ried Blond", de belles prairies alluviales qui se composent d'une flore et d'une faune exceptionnelles. Au Nord-Ouest de la forêt rhénane de la Robertsau s'étendent de vastes zones de prairies, de haies et de roselières, dans le Ried Brun ou Nord, entre les lieux-dits "Grossbeltzwoerth", "Pfennwoerth" et Rohrwoerth. Des milieux ouverts qui bordent la ferme Bussière; une ancienne dépendance du château de Pourtalès qui abrite le Centre d'Initiation à la Nature et à l'Environnement CINE. La forêt de la Robertsau a été classée en Réserve Naturelle Nationale le 27 juillet 2020.


Photo d'un Procris ''Coenonympha pamphilus'' posé sur un brin d'herbe, les ailes fermées, avec la postérieure marbrée de brun et de beige, dans une prairie qui borde le Rhin, à la Wantzenau au mois d'août.



Photo d'un Procris au mois de juin ''Coenonympha pamphilus'' les ailes fermées, avec la postérieure marbrée de brun et de beige, et la partie de l'antérieure orange ornée d'un ocelle noir à point blanc cerclée de jaune.



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