Photos du Téléphore fauve, Rhagonycha fulva




Photo d'un accouplement de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'', sur les fleurs blanches d'une ombellifère, dans une clairière le long du Rhin, à la Robertsau au mois de juin. Description du Téléphore fauve.


Le Téléphore fauve "Rhagonycha fulva" est un coléoptère de la famille des Cantharides "Cantharidae". Cette cantharide est de couleur rouge orangé à roussâtre avec les élytres brun-roux et noirs à l'extrémité. Les antennes sont noires, comme les yeux et les tarses des pattes. Sa taille varie de 7 à 10 mm. Présent dans toute l'Europe, le Téléphore fauve se rencontre du printemps à l'été en groupes denses, sur les fleurs des garrigues, des prairies, des clairières ou en lisières de bois.


Photo d'un accouplement de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'', sur une Carotte sauvage ''Daucus carota'', dans une prairie qui borde le Rhin, à la Robertsau à la fin du printemps. Description de la forêt de la Robertsau.


La forêt de la Robertsau est une forêt périurbaine située au Nord-Est de Strasbourg, elle est une des trois forêts rhénanes entourant la ville. D'une surface de 493 hectares, elle se compose de tous les éléments qui caractérisent les forêts du Rhin. Longtemps surexploitée et défigurée, elle bénéficie aujourd'hui d'une protection lui permettant de retrouver ses caractères rhénans. La forêt de la Robertsau est une mosaïque de forêts alluviales rhénanes, avec dans les parties basses "Gründe" des méandres "Giessen" qui serpentent entre les îles du "Blaueslandkoepfel" ou des bras morts du Rhin alimentés par la nappe phréatique "Brunnenwasser". Plus haut, une jungle épaisse s'est développée sur les levées "Köpfe", elle accueille son cortège de lianes arborescentes qui grimpent à la cime des plus grands chênes, frênes et autres érables. Un troisième milieu occupe le bord du Rhin ou le "Beilengrund", le "Ried Blond", de belles prairies alluviales qui se composent d'une flore et d'une faune exceptionnelles. Au Nord-Ouest de la forêt rhénane de la Robertsau s'étendent de vastes zones de prairies, de haies et de roselières, dans le Ried Brun ou Nord, entre les lieux-dits "Grossbeltzwoerth", "Pfennwoerth" et Rohrwoerth. Des milieux ouverts qui bordent la ferme Bussière; une ancienne dépendance du château de Pourtalès qui abrite le Centre d'Initiation à la Nature et à l'Environnement CINE. La forêt de la Robertsau a été classée en Réserve Naturelle Nationale le 27 juillet 2020.


Photo au-dessus d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' sur les fleurs d'une Achillée millefeuille ''Achilllea millefoliuma'', dans une prairie du Ried blond, à la Wantzenau au mois de juillet. Description de l'Achillée millefeuille.


L'Herbe au charpentier, Herbe du Soldat, Herbe à la coupure ou Achillée millefeuille "Achilllea millefoliuma" est une plante herbacée médicinale de la famille des Astéracées "Asteraceae". Les fleurs en capitule, de couleur blanche à rosâtre sont disposées en fausse ombelle au sommet de la tige. Les feuilles vertes sont pennées. Sa taille varie de 20 à 50 cm. L'Achillée millefeuille est une plante herbacée vivace qui fleurit de juin à octobre sur les sols azotés, dans les prairies, les clairières, les friches, les pelouses et au bord des chemins. Cette plante antispasmodique, tonique, hémostatique, anti-inflammatoire, antidiabétique, cicatrisante... est utilisée notamment pour soigner la fatigue, les névroses, les varices, les douleurs rhumatismales, les maux de tête, les affections de la peau, les douleurs menstruelles, les plaies et blessures de toutes sortes... L'Achillée millefeuille tient son nom d'Achille, qui aurait découvert et utilisé la plante pour guérir les blessures lors de la guerre de Troie.


Photo d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' sur les fleurs blanches d'une Achillée millefeuille ''Achilllea millefoliuma'', dans une prairie humide, sur le ban communal de la Wantzenau au coeur de l'été.



Photo d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' dans le fond de la cloche d'un Liseron des haies ''Calystegia sepium'', dans le Ried blond de la Wantzenau à la fin du printemps. Description du Liseron des haies.


Le Liseron des haies "Calystegia sepium", est une plante médicinale herbacée vivace rampante ou grimpante de la famille des Convolvulacées "Convolvulaceae". La fleur en forme de trompette se compose d'une corolle formée de 5 pétales soudés en tube élargi de couleur blanc, avec les sépales verts en pointe bordés de pourpre et les étamines blanchâtres. Les fruits sont des capsules vertes de forme ovoïde. Les feuilles vertes sont en forme de tête de flèche. Les tiges vertes sont coriaces, sinueuses et volubiles, elles s'enroulent autour des tiges des autres plantes. Il mesure de 30 à 100 cm. Le Liseron des haies fleurit de mai à octobre au bord des étangs, dans les clairières, les haies ou dans les broussailles qui bordent les chemins et les talus.


Photo d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' caché derrière une tige de Roseau, au bord d'une ancienne gravière du Rhin, à la Robertsau au mois d'août. Yves Noto Campanella photographe.


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Photo d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' posté au sommet d'un brin de lavande, au bord du lac de Sainte-Croix, aux Salles-sur-Verdon au mois de juillet. description de la lavande.


La lavande est un arbrisseau de la famille des Labiées "Labiatae" ou Labiacées "Labiaceae" ou Lamiacées "Lamiaceae" du genre Lavandula. Les fleurs mauves ou violettes sont disposées en épis. La plupart des espèces, très odorantes, sont utilisées dans la parfumerie ou la médecine, d'où la grande demande de son extrait d'huile essentielle. La lavande est une plante mellifère nécessaire à la pollinisation, elle attire donc abeilles, papillons et autres pollinisateurs. Son nectar produit un miel très clair, crémeux, d'une grande douceur au goût fruité. La lavande pousse surtout sur les sols calcaires secs et ensoleillés, elle fut utilisée en Provence dès le Moyen Âge, pour la composition de parfums et de médicaments. On distingue quatre espèces principales de Lavande: la Lavande vraie "Lavandula angustifolia", la Lavande aspic "Lavandula latifolia", la Lavande à toupet "Lavandula stoechas" et le Lavandin super ou Lavandin burnatii "Lavandula hybrida grosso" qui résulte d'un croisement naturel de deux espèces de lavande, la Lavande vraie et la Lavande aspic. Implantée en France par les phocéens, sa culture s'est développée en Provence, favorisée par un climat idéal pour son développement. C'est dans les années 1920 qu'est apparu le Lavandin qui offre un rendement plus élevé et une production d'essence supérieure à la lavande traditionnelle.


Photo d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' dégustant le nectar d'une fleur de lavande, aux Salles-sur-Verdon au coeur de l'été.



Photo d'un accouplement de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' sur une feuille d'Ortie dioïque ''Urtica dioica'', dans la forêt rhénane de la Robertsau au mois de juillet. Description de l'ortie dioïque.


L'Ortie dioïque ou Grande ortie, également appelée Ortie brulante ou Ortie commune et Ortie urticante "Urtica dioica" est une plante herbacée vivace, de la famille des Urticacées "Urticaceae". Les feuilles dentées sont de couleur verte; elles sont opposées, de forme ovale à lancéolée en pointe, avec d'épaisses nervures. Les fleurs blanchâtres à verdâtres, à l'aisselle des feuilles, sont dioïques, les deux sexes sont portés par des pieds différents. Les fleurs femelles, réunies en grappes sont tombantes et les fleurs mâles dressées. La tige carrée est dressée et non ramifiée. Sa taille varie de 60 à 150 cm. Le fruit est un akène ovale. Si les poils urticants contiennent un liquide irritant, elle n'en demeure pas moins une plante comestible très recherchée à l'état jeune. De plus, elle est également utilisée dans l'agriculture biologique, où, macérée, elle constitue le fameux purin d'ortie utilisé comme répulsif contre les insectes ravageurs, mais également comme engrais. Très commune, l'Ortie dioïque peut former de vastes colonies grâce à ses longs rhizomes, elle fleurit de juin à septembre au bord des forêts humides, des chemins ou des prairies.


Photo d'un accouplement de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' dans les fleurs d'une Verge d'or du Canada ''Solidago canadensis'', au bord d'un ancien méandre du Rhin, à la Robertsau au mois d'août.



Photo au-dessus d'un accouplement de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' sur les fleurs jaunes d'une Verge d'or ''Solidago canadensis'', dans la forêt rhénane de la Robertsau au coeur de l'été. Description de la Verge d'or du Canada.


Originaire d'Amérique du Nord, la Verge d'or du Canada ou Solidago, également appelée Solidage du Canada "Solidago canadensis" est une plante médicinale herbacée vivace de la famille des Astéracées "Asteraceae". La tête florale est munie de nombreux petits capitules en grappe. Les fleurs jaune d'or sont ligulées à l'extérieur et tubuleuses à l'intérieur. Les feuilles inférieures sont elliptiques et sciées, les centrales sont lancéolées et décurrentes. La tige verte à brunâtre est dressée. Sa taille varie de 60 à 150 cm. Très commune et envahissante, la Verge d'or du Canada fleurit de juillet à septembre, dans les clairières, les lisières de forêts ou au bord des étangs et des cours d'eau.


Photo au-dessus d'un couple de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' durant l'accouplement, sur des fleurs de Verge d'or ''Solidago canadensis'', dans la forêt du Rhin de la Robertsau au début du mois d'août.



Photo d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' sur une feuille lancéolée de Verge d'or ''Solidago canadensis'', dans la forêt du Rhin de la Robertsau au coeur de l'été.



Photo d'un couple de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' lors de l'accouplement, sur une feuille de Verge d'or ''Solidago canadensis''; une plante de la famille des Astéracées qui se rencontre communément au bord des étangs et des cours d'eau.



Photo d'un accouplement de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' sous une feuille de Verge d'or ''Solidago canadensis'', dans la partie basse ''Gründe'' de la forêt rhénane. Description des parties basses de la forêt du Rhin.


Les forêts du Rhin se sont développées grâce au fleuve qui y a déposé des alluvions fertiles au cours de ses crues. Sur les bords du Rhin et ses méandres, dans les parties basses "Gründe" se trouvent une végétation arbustive composée essentiellement d'arbres à bois tendre: le Saule, l'Aulne et le Peuplier noir. Des essences qui supportent les inondations prolongées et les fortes crues du Rhin. Ces méandres sont bordés notamment de roselières, de carex, de joncs ponctués de Salicaires et d'Iris jaune, de Menthe aquatique et de Myosotis des marais. Des bras d'eau qui peuvent être alimentés soit par la nappe phréatique "Brunnenwasser", ou par le Rhin et la nappe phréatique "Giessen". Des Milieux d'une grande richesse faunistique et floristique.


Photo d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' en pleine récolte de nectar; une cantharide de couleur rouge orangé avec l'extrémité des élytres et des pattes noirs.



Photo d'un Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' dans une prairie humide du Ried blond; une grande cantharide qui peut mesurer jusqu'à 1 cm.



Photo d'un accouplement de Téléphore fauve ''Rhagonycha fulva'' dans une douce lumière au lever du jour, sur une tige de jonc, dans une prairie du Ried blond, sur le ban communal de la Wantzenau. Description du Ried blond.


Le Ried Blond s'est développé au rythme du Rhin sur les emplacements où le fleuve, lors des fortes crues annuelles, a décapé les forêts bordant les méandres. Progressivement les prairies inondables se sont formées sur les alluvions; des matériaux légers et calcaires déposés par le Rhin. Si un bon nombre de ces prairies ont disparu suite aux divers travaux de domestication du fleuve, une grande partie est encore magnifiquement préservée. Je citerai la réserve naturelle transfrontalière du Taubergiessen à Rhinau-Kappel, le Kühkopf en Allemagne, ou, à plus petite échelle, le Sud-Est de la forêt de la Wantzenau et le Rohrschollen. Les prairies alluviales du Ried Blond sont d'une grande richesse floristique et faunistique. Dès le début du printemps elles se couvrent de tapis de Cardamines des prés, de Marguerites, de Carottes sauvages ou encore de Vergerettes annuelles, sans oublier les nombreuses espèces d'orchidées. Ces prairies sont entourées de roselières et de haies, comme les Viornes obiers et lantanes, les Cornouillers mâles et sanguins, le Troène vulgaire ou l'Épine noire et l'Aubépine, des arbustes typiques des paysages riediens du Rhin. Le Ried Blond est bordé de dépressions, les "Gründe" où serpentent les bras du Rhin ceinturés par des saules, des aulnes ou des Peupliers noirs. Cet ensemble est dominé par une profonde jungle rhénane qui s'est développée sur les levées "Köpfe". C'est cet ensemble naturel qui fait de la forêt du Rhin, le milieu le plus riche d'Europe avec la forêt du Danube.


Photo d'un accouplement de Téléphore fauve dans la rosée du matin ''Rhagonycha fulva'', dans les hautes herbes d'une prairie du Ried blond, à la Wantzenau à la fin du printemps. Description des Rieds.


Le mot Ried vient du vieil alémanique "Rieth", qui signifie roseau et, par extension, une "zone inondable". Le Ried est un paysage formé d'un ensemble de prairies humides alimentées et traversées par des cours d'eau bordés de roseaux, de haies, de lignes d'arbres ou de petits massifs boisés. Ces milieux naturels sont cantonnés pour l'essentiel dans le département du Bas-Rhin en Alsace. Ils ont chacun leurs spécificités en fonction du microclimat, de la topographie et du substrat qui s'est formé sur des alluvions déposées par le fleuve et les rivières. Les rieds sont également formés par les résurgences et nappes phréatiques affleurantes. Des berges du Rhin et du Bruch de l'Andlau, au Grand Ried Centre Alsace de l'Ill, ou des Rieds de la Bruche, la Zorn, la Lauter, la Zembs, la Moder... ils ont tous leurs particularités. La flore et la faune des prairies riediennes sont d'une grande richesse, des parterres de fleurs colorent ces vastes surfaces herbeuses dès le début du printemps: Cardamines des prés, Renoncules âcres, Marguerittes, Linaigrettes ou Vergerettes annuelles mais également des espèces plus rares comme les Orchidées, l'Iris de Sibérie ou le Glaîeul palustre. De nombreux oiseaux spécifiques à ces milieux ouverts y sont présents comme le Courlis cendré, le Hibou des marais, la Cigogne blanche, le Busard des roseaux et le Râle des genêts. On y dénombre à Sélestat, la plus grande densité de Daims en France, mais le Chevreuil et le Sanglier sont également bien représentés dans les Rieds quand la chasse y est bien gérée et les prédateurs naturels respectés, comme le Renard, la Martre ou "autres Fouines". Les Rieds sont d'une importance capitale, outre leurs richesses écologiques, ils permettent l'absorption des fortes crues et inondations annuelles ainsi que la recharge de la nappe phréatique.


Photo à contre-jour d'un Téléphore fauve dans la rosée du matin ''Rhagonycha fulva'', dans les hautes herbes d'une prairie ello-rhénane au lever du jour, à la Wantzenau au mois de juin. Description de la forêt de la Wantzenau.


La forêt de La Wantzenau se situe au Nord de Strasbourg, entre la Robertsau et Gambsheim, elle est traversée au centre par la rivière de l'Ill et ses méandres, comme le "Steingiessen" et le "Waldrhein", ce qui en fait une forêt ello-rhénane. La forêt de La Wantzenau a la particularité de posséder une végétation façonnée par le Rhin et par l'Ill. Les alluvions du Rhin ont donné un sol à substrat grossier et calcaire. La rivière de l'Ill, issue des montagnes du Juras alsacien, donnant un sol à substrat fin et non-calcaire. Un ensemble qui a permis à une végétation très riche et diversifiée de s'y développer. La forêt de la Wantzenau comprend au Sud de très belles prairies du Ried Blond délimitées par le "Steingiessen", elles abritent une flore et une faune remarquables. À partir du lieu-dit "Siefferts Koepfel" et jusqu'au "Breuschkopfgrund", avec la forêt domaniale de Honau, s'étend une forêt dense, entrecoupée de méandres, une jungle rhénane des plus remarquables. Tout ce versant droit de l'Ill comprend des forêts alluviales qui se sont développées sur des levées "Köpfe" ainsi que dans les parties basses "Gründe", le long des anciens méandres du Rhin et de l'Ill. La rive gauche de l'Ill abrite une végétation plus ou moins rapportée, aux lieux-dits "Kaelberkopf" et "Waldkoepfel", le point le plus remarquable est son méandre, le Waldrhein qui ceinture avec l'Ill l'ensemble du massif. Le long de ce bras de l'Ill s'est formé une magnifique roselière bordée d'une vaste saulaie. C'est en 1994 qu'a été créée la première réserve biologique, elle a été agrandie en 2004, puis en 2018. La Réserve biologique de la Confluence Ill-Rhin couvre une surface de 103 ha: 43 ha de réserve biologique intégrale (RBI) et 60 ha de réserve biologique dirigée (RBD). De plus, le 27 juillet 2020 a été créée la Réserve naturelle nationale du massif forestier de la Robertsau et de La Wantzenau. D'une surface de 710 ha, elle regroupe la totalité de la forêt de la Robertsau, et les lieux-dits "Rosskoepfel" et "Honauerkoepfel, au Sud-Est de La Wantzenau.


Photo dans une douce lumière d'été d'un Téléphore fauve au petit matin ''Rhagonycha fulva'', il est posté au sommet d'une tige de jonc, dans une prairie du Ried blond, à la Wantzenau au début du mois de juin.



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